Commentaires
Veuillez vous connecter pour commenter et réagirLe passé éclaire l'avenir. Nos dirigeants ne se sont pas privés de sanctionner certains dirigeants, plutôt étrangers, souvent Africains. Lorsque ces derniers prenaient quelques libertés avec leurs collègues mafieux, ceux ci ont inventé la réquisition des "BIENS MAL ACQUIS¨. Cette méthode pourrait être appliquée à tout individu, de l'ancien ou du nouveau modèle, reconnu coupable d'enrichissement indu. Cela sanctionnera les anciens, calmera les ardeurs de certains opportunistes, renflouera en premier lieu la partie lésée, souvent la collectivité publique. Elle rassurera surtout l'ensemble de la population sur le sérieux de nos propositions qui ne doivent pas être un catalogue de revendications pour dépenser plus, mais plutôt de dépenser mieux. Le tout sans prescription mais au contraire élargi aux bénéfices cumulés des sommes indûment perçues et aux bénéficiaires directs et indirects de ces sommes, quelque soient les liens familiaux, amicaux ou autres de ces bénéficiaires avec la personne saisie.
J'ajoute encore la compétence exclusive de l'UE sur certains domaines et ses règles comme l'article 123 du TFUE sur la dette. Beaucoup de pays ont des dettes, mais le cas de l'UE est particulier pour un historique récent.
C'est un article technique auquel je me permets d'ajouter un lien https://youtu.be/qoazqJEBGsc pour plus d'informations sur comment une dette s'annule. J'en retiens qu'une dette engage plusieurs acteurs, ceux qui la demande et ceux qui la finance. Annuler la dette publique engage ceux qui y ont investi, comme les industriels, les autres pays... Si l'on choisit d'oublier ce que le pays leur doit, eux ne l'oublions pas. A mon humble avis il faudrait une annulation partielle bien ciblée aux pires acteurs pour réduire la confiance au système qui n'en mérite pas (qui poursuit son accroissement), afin d'encourager une gestion souveraine de la dette. Mais ça ce n'est pas facile.